L’équipe de France féminine est sur le point de disputer la Coupe du monde 2023. Membre de la sélection d’Hervé Renard, Selma Bacha a dévoilé quels étaient ses surnoms.
Les vingt-trois joueuses tricolores sélectionnées par Hervé Renard pour disputer la Coupe du monde 2023 organisée du 20 juillet au 20 août par l’Australie et la Nouvelle-Zélande, sont en pleine préparation. En attendant d’entrer en lice le 23 juillet prochain face à la Jamaïque, les Bleues peaufinent leur montée en puissance, avec notamment un match amical à jouer le 14 juillet contre l’Australie. Au sein du groupe France, Selma Bacha s’apprête à participer à son premier Mondial. Elle en a profité pour en dire un peu plus sur elle.
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À l’occasion d’un podcast diffusé mardi sur le site officiel de la Fédération française de football, la défenseure tricolore a évoqué les différents surnoms qu’elle avait pu avoir (et qu’elle avait encore). L’un d’entre eux était « la gazelle ». L’internationale a expliqué pourquoi et a même dévoilé un autre surnom, beaucoup plus cocasse, que lui donnait son frère étant plus jeune. « C’est vrai qu’au niveau du cardio, je suis là. Et je me rappelle, mon frère m’appelait ‘nitro des fesses’, parce que je courrais super vite (rire). […] Les gens me demandaient comment je faisais pour tenir et pour courir partout. En fait c’est dans mes gènes, c’est naturel. »
« Pumba ? Il est tout ce que je suis »
Outre ce poétique diminutif, Selma Bacha a eu droit à d’autres surnoms parfois assez loufoques, mais toujours avec une explication. « Brutus, c’est mon surnom officiel en club. Ça vient de Camille Abily et Wendie Renard. Parce que je suis une personne qui est brute. Dans mes duels je suis brute. Devant le but, il y en a qui sont efficaces, moi ce ne sont vraiment que des grosses frappes. Je n’arrive pas à placer. C’est pour ça qu’on m’appelle Brutus. » La Lyonnaise a également mentionné le surnom de « Pumba », référence au phacochère du Roi Lion : « Il est tout ce que je suis. Très mauvaise perdante, très têtue. Quand je perds, c’est la Guerre Mondiale. Il faut que personne ne me parle. » Autant espérer toujours plus de succès pour les Bleues.
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