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Les bons résultats de la filière aurifère ghanéenne doivent beaucoup à la restructuration en profondeur du secteur au cours des dernières années, à une montée en gamme dans la chaîne de valeur, à un meilleur contrôle des opérateurs… Autant d’actions structurantes qui ont permis de tirer au mieux parti du « capital » aurifère du pays (10 % du PIB), l’un des trois moteurs de l’économie ghanéenne avec le cacao et le pétrole.
L’article Or : le Ghana récupère son trône de premier producteur africain
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